Jeu.

C’est une palette de matières, de lumières et de mouvements. Je voudrais être pinceau.

Baie de Somme – Printemps 2014

C’est une palette de matières, de lumières et de mouvements. Je voudrais être pinceau.

(Baie de Somme – septembre 2014)

Vers elle.

Lorsque soudain, tout en haut de la dune, la mer s’offre au regard, j’aime courir vers cet horizon liquide, dans la brise et les éclats de lumière.

Baie de Somme – Printemps 2014

Lorsque soudain, tout en haut de la dune, la mer s’offre au regard, j’aime courir vers cet horizon liquide, dans la brise et les éclats de lumière.

(Baie de Somme – septembre 2014)

Il semblerait que cette chaise m’attende.

(Rencontres photographiques d’Arles – septembre 2014)

Et la lumière fut.

(Rencontres photographiques d’Arles – septembre 2014)

Des friches irriguées d’art photographique. Arles m’ouvre l’appétit.

(Rencontres photographiques d’Arles – septembre 2014)

Si loin, si proche.

Quelques morceaux de bois qui font une embarcation,
des langues de terre et d’eau,
au loin une ville qui se perd dans un bleu immense.
Je ne sais si je quitte ou si j’arrive.

Baie de Somme – Printemps 2014

Cérémonie

Elle s’approcha à petits pas, dans des froissements de soie. Puis avec des grâces d’oiseau, elle versa le thé et dans le froid du printemps qui se refusait obstinément, ce furent comme les éclats dorés et rassurants d’une aube claire.

« Elle s’approcha à petits pas, dans des froissements de soie. Puis avec des grâces d’oiseau, elle versa le thé et dans le froid du printemps qui se refusait obstinément, ce furent comme les éclats dorés et rassurants d’une aube claire. »

Mélopée marine. J’apprivoise les notes avant le concert. (concert « cabane » – Gujan Mestras – août 2014)

Une langue de terre qui s’allonge, des planches dressées sur l’eau, qui s’alignent jusqu’à former des baraques de toutes les couleurs. Entre ces murs de bois, quelques notes échappées, quelques poésies chantées. (concert « cabane » – Gujan Mestras – août 2014)

Une image du bonheur, chanter au paradis.