Créatures célestes. Dans les indigos des insondables horizons se meuvent des troupeaux fantastiques, des hordes rêveuses. (Côte amalfitaine – été 2015)
Qu’y-a-t-il au fond? Une odeur de cire ancienne, de poussière lentement déposée, un craquement, et la lumière qui tombe comme un point d’exclamation.
Personne ne l’a vu. Se détourner, cacher, feindre, esquiver. Se lamenter contre le mur de l’oubli volontaire.
Tribù. La paix scintillante d’un théâtre suspendu au-dessus d’une cour antique, à l’écart du tumulte de la ville. (Napoli – Tribu B&B – Alessandra e Gaetano)
Aleph/1. Des fragments de lumières délicats et crus, des couleurs vastes comme les champs d’orangers et les collines arides, des reliefs de vagues. (Napoli – Aleph Design – Alessandra)
Emoi. Je descends les marches de pierre, je m’arrête soudain : un éclat de bonheur s’est fiché dans mon oeil. (Pollara – été 2015)
Le chemin et sa beauté. Le goût de chaque pas, la saveur de chaque respiration, l’effort qui devient caresse de l’âme. (Pollara – été 2015)
Loin des ors. Sur l’épaule de la terre, en miroir la mer à ses pieds. Le village se tient là comme l’oiseau frémissant au soleil. (Pollara – été 2015)