De profundis. S’étendre sur les flots, vers les fonds, dans les cobalts sous-marins et saisir dans cette au tissage léger les beautés de sel et d’eau. (Isola di Procida : juillet 2015)
Flots. Jeter, hisser, remonter, encercler, capturer. Gestes et mailles mêlés dans un glorieux ballet ancestral. (Isola di Procida : juillet 2015)
Trésors. Les images précieuses dansent au fond de l’eau et offrent à les yeux des richesses sans fin. (Pont de Monvert : printemps 2015)
Trésors/3. 21 juillet 2015 admin_katia Des bleus lapis et des jaunes d’or dans lesquels tomber comme dans des puits sans fond. (Isola di Salina : juillet 2015)
Traverse. Des horizons dansants ouvrent des chemins aventureux d’un bleu de pierre. Je voudrais courir et sentir les blés fouettant mes jambes, puis soudain m´étendre et disparaître dans les herbes profondes. (Vercors : printemps 2015)
Elysées. L’air tremble de rose, vibre de pollen, et la forêt s’alanguit. Je guette le bond de la biche, le sursaut de l’écureuil, le frémissement de l’oiseau. (Fontainebleau : printemps 2015)
Ondes. Le flot des graminées agitées par le vent m’emporte par-delà les forêts, par-delà les souvenirs. Je suis dans le temps immobile. (Pont de Monvert – juillet 2015)
Cours, terrasses et jardins : notes frémissantes. (Jardin d’Estelle et Alexandre : concert du 27 juin 2015)
Cours, terrasses et jardins : mélopées estivales. (Maison des associations du 12éme : concert du 2 juillet 2015)