Le regard parcourt les livres dressés comme des immeubles, étalés comme des rues, alignés comme des pavés, toute une cité bâtie sur des imaginaires foisonnants.
On s’y laisse aller, timidement d’abord, puis avec délice et même, avec un certain détachement. Il n’y a plus de sol sous mes pieds, rien que des nuages.