Je ne sais pas pourquoi au juste, mais la mer toujours éveille en moi une certaine nostalgie. Peut-être celle de l’éternel retour des vagues… Et puis cette lumière d’après-midi finissant, ces teintes pastels, ces veloutés de souvenirs…

Quand on nage en pleine mémoire, quand on croise ces touchants témoignages d’époques innocentes, on regarde vers le passé et ça repose. Ils y croyaient vraiment non?

C’est un mot d’une époque lointainement indéfinie, un mot comme un slogan, un mot qui dit à quel point les gaz d’échappement sont chouettes. Un mot sans peur et sans reproche. Moi je dis, vraiment, c’est.

Se couler dans de mouvantes nuances, épouser les contrastes, effleurer l’art de la vie. Je savoure.

(Dar Babouya – concert le 28/03 à 15h)

Car c’est parfois au niveau du sol que l’on s’élève, que l’on puise la matière de rêveries voyageuses.

(Dar Babouya – concert le 28/03 à 15h)

Relire le monde : question de grille. Je me sens l’oeil affamé.

(Dar Babouya – concert le 28/03 à 15h)

Parcourir des contrées au soleil à jamais couchant et jamais couché, somnanbuler parmi les chaleurs terrestres. Je suis la pente.

(Table à Côté – concert le 26/03 à 20h)

En plein coeur, en pleine lumière, en plénitude. Tressaillir d’envie.

(Table à Côté – concert le 26/03 à 20h)

C’est droit devant, sans détour aucun, que cela se présente. Quoi donc? le mystère, la surprise, l’inconnu. J’y vais de ce pas.

(Table à Côté – concert le 26/03 à 20h)

Côte-à-côte, l’un comme l’autre, contre l’un, contre l’autre, se jouer des ombres et des lumières. J’explore les contrastes.

(Ithemba – concert le 25/03 à 19h)