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Créatures célestes.
Dans les indigos des insondables horizons se meuvent des troupeaux fantastiques, des hordes rêveuses. (Côte amalfitaine -...
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Qu’y-a-t-il au fond?
Une odeur de cire ancienne, de poussière lentement déposée, un craquement, et la lumière qui tombe comme un point d'exclam...
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Personne ne l’a vu.
Se détourner, cacher, feindre, esquiver. Se lamenter contre le mur de l'oubli volontaire....
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Le mystère s’est enfui.
Jour, obscurité, porte ouverte, invitation à un pas de deux....
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Tribù.
La paix scintillante d'un théâtre suspendu au-dessus d'une cour antique, à l'écart du tumulte de la ville. (Napoli - Tr...
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Aleph/1.
Des fragments de lumières délicats et crus, des couleurs vastes comme les champs d'orangers et les collines arides, des reli...
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Aleph/2.
Terre, mer, ciel, au creux de la main. (Napoli - Aleph Design - Alessandra)...
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Emoi.
Je descends les marches de pierre, je m'arrête soudain : un éclat de bonheur s'est fiché dans mon oeil. (Pollara - été...
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Le chemin et sa beauté.
Le goût de chaque pas, la saveur de chaque respiration, l'effort qui devient caresse de l'âme. (Pollara - été 2015)...
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Loin des ors.
Sur l'épaule de la terre, en miroir la mer à ses pieds. Le village se tient là comme l'oiseau frémissant au soleil. (Po...
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L’attente comme une prière.
Rêver la côte qui s'approche d'heure en heure : je savoure la traversée, cet élan suspendu....
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Laisser derrière soi.
Une écume dont la blancheur a la beauté de l'oubli. Je m'éloigne des pesanteurs, je me déshabille des faussetés....
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Vieux capitaine.
Voguons vers des rives lointaines, étrangères, fantastiques, des mondes tapis dans les recoins de nos cerveaux. (Isola di...
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Les portes, le ciel.
Le voici qui palpite dans ces traînées de peintures anciennes, échouées sur un bois fatigué avec toute la grâce du hasar...
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Qui aurait crû?
Des voix sinueuses portent la foi et parlent avec des ferveurs d'enfants. (Naples - été 2015)...